« Parts-per-million » signifie « sur un million ». Il est couramment utilisé pour décrire la concentration de quelque chose dans une solution d’eau. Un ppm est équivalent à 1 milligramme de quelque chose par litre d’eau.

Il n’existe pas d’eau totalement dépourvue de deutérium, avec une concentration de 0 ppm, dans la nature. Chaque source d’eau naturelle présente des concentrations variées de deutérium. L’eau considérée comme la plus « légère » sur Terre, résultant de processus météorologiques naturels, se trouve dans la neige et la glace de l’Antarctique, avec une concentration d’environ 89 ppm, ce qui se rapproche le plus de l’eau contenue dans nos cellules, qui est de 40 à 60 ppm. Cependant, malgré les qualités idéales de cette eau pour la consommation, son accès extrêmement limité empêche son utilisation comme ressource hydrique. L’eau appauvrie en deutérium peut uniquement être produite en grandes quantités par des moyens artificiels.

PREVENTA 25 peut être utilisée comme n’importe quelle autre eau. Que vous la congeliez, la chauffiez ou la portiez à ébullition, cela n’altérera pas sa teneur en deutérium. Seule la dilution avec d’autres liquides influencera la quantité de deutérium dans l’eau.

Des études sur le vieillissement ont montré que réduire le deutérium dans l’eau potable apporte des bénéfices significatifs, car l’excès de deutérium perturbe les processus biologiques et endommage les mitochondries. L’eau appauvrie en deutérium diminue la charge corporelle de deutérium. Un effet cumulatif surprenant est observé avec le deutérium, qui ralentit les réactions biochimiques jusqu’à neuf fois, connu sous le nom d’effet isotopique cinétique.

Effectivement, l’eau faible en deutérium est adaptée à une consommation régulière par des personnes de tout âge. Cependant, il est prudent de consulter un médecin ou un spécialiste de la santé avant d’ajouter quoi que ce soit de nouveau à votre alimentation.

Pour intégrer l’eau appauvrie en deutérium, telle que PREVENTA 25 ppm, dans votre quotidien, il est essentiel de la diluer correctement. La dilution recommandée pour un adulte en bonne santé est de 125 ppm, ce qui correspond aux besoins hydriques quotidiens, soit 1,5 à 2 litres. Cette eau diluée peut être utilisée non seulement pour la consommation directe mais aussi pour la cuisine, la préparation de boissons comme le thé ou le café. Il est conseillé de consulter un thérapeute pour déterminer la dilution optimale spécifique à vos besoins et de commencer la consommation de manière progressive pour éviter les réactions de détoxification.

Le deutérium est présent dans tous les aliments, avec des concentrations variables. De plus, la teneur en deutérium d’un même aliment peut varier selon la région de culture, augmentant généralement à mesure que l’on se rapproche de l’équateur. Voici quelques exemples de concentrations de deutérium dans différents aliments : Eau de coco : 156 ppm, Banane : 156 ppm, Farine de blé : 150 ppm, Sucre de betterave : 146 ppm Brocoli : 145 ppm, Pomme de terre : 143 ppm, Carotte : 142 ppm, Maïs : 145 ppm, Viande de porc : 138 ppm, Avocat : 135 ppm, Huile d’olive : 130 ppm, Beurre : 124 ppm, Gras de bœuf : 121 ppm, Gras de porc : 116 ppm, Gras d’oie : 109 ppm. Ces informations soulignent la variabilité de la concentration en deutérium selon les aliments et leur origine géographique.

Pour diminuer le taux de deutérium dans le corps, plusieurs stratégies peuvent être adoptées en plus de la consommation d’eau appauvrie en deutérium. Voici quelques méthodes complémentaires : Alimentation faible en deutérium : Privilégier les aliments ayant naturellement une faible concentration en deutérium. Cela inclut les aliments cultivés dans des régions où l’eau d’irrigation contient moins de deutérium, comme les zones de haute altitude ou certaines régions éloignées de l’équateur. Jeûne intermittent : Le jeûne permet de réduire les niveaux de deutérium dans le corps en favorisant l’utilisation des graisses comme source d’énergie, qui contiennent moins de deutérium que les glucides. Consommation réduite de glucides : Les glucides, en particulier ceux issus de cultures irriguées avec de l’eau riche en deutérium, peuvent augmenter le taux de deutérium dans le corps. Réduire leur consommation peut donc aider à abaisser ce taux. Exercice physique : L’exercice aide à brûler les graisses, qui, comme mentionné, contiennent moins de deutérium. Cela peut contribuer à réduire le taux global de deutérium dans le corps. Exposition au soleil : La lumière solaire stimule certaines réactions biochimiques dans le corps qui peuvent aider à réduire la concentration de deutérium. Respiration profonde : La pratique régulière d’exercices de respiration profonde peut améliorer l’oxygénation des cellules et favoriser des métabolismes qui aident à diminuer les niveaux de deutérium. Consommation d’aliments riches en graisses naturelles : Les graisses, notamment celles issues d’animaux élevés en pâturage ou de poissons capturés en milieu sauvage, ont tendance à avoir une teneur en deutérium inférieure à celle des graisses issues d’animaux nourris aux céréales. Ces méthodes, combinées à une hydratation adéquate avec de l’eau appauvrie en deutérium, peuvent contribuer de manière significative à la réduction des niveaux de deutérium dans le corps, favorisant ainsi une meilleure santé et potentiellement une longévité accrue.

Oui, le corps humain possède la capacité d’éliminer le deutérium, bien que ce processus ne soit pas aussi spécifiquement régulé comme celui d’autres substances ou toxines. L’élimination du deutérium se fait principalement à travers le métabolisme de l’eau – via l’urine, la transpiration, et la respiration. Cependant, l’efficacité de cette élimination n’est pas uniforme et peut varier en fonction de plusieurs facteurs, y compris l’âge. Avec l’âge, divers changements physiologiques peuvent affecter la manière dont le corps gère le deutérium : Ralentissement du métabolisme : Un métabolisme plus lent peut affecter la vitesse à laquelle le corps traite et élimine toutes sortes de substances, y compris le deutérium. Diminution de la fonction rénale : La fonction rénale tend à diminuer avec l’âge, ce qui peut ralentir l’élimination de l’eau et donc du deutérium. Changements dans la composition corporelle : Avec l’âge, les changements dans la composition corporelle, comme l’augmentation de la masse grasse, peuvent influencer la distribution et le stockage du deutérium dans le corps. Ces facteurs suggèrent que la capacité du corps à éliminer le deutérium pourrait devenir moins efficace avec l’âge, bien que l’ampleur de cet effet puisse varier considérablement d’une personne à l’autre.